Que des étrangers
ne se rassasient de
ce que
tu as produit
par tes efforts,
et que le fruit de ton travail
ne se retrouve dans la
maison d’un autre,
de peur que,
près de ta fin, tu ne gémisses,
alors que ton corps tout entier
sera épuisé,
et que tu ne dises :
« Comment donc ai-je pu
haïr l’éducation ?
Pourquoi ai-je dédaigné
les avertissements ?
Pourquoi n’ai-je pas écouté
ceux qui m’ont enseigné
ni prêté attention à ceux
qui m’instruisaient ?
Peu s’en est fallu
que je ne
sois
dans le pire des malheurs
au milieu
de
l’assemblée
du peuple
°°°
commentaires