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Quand l’éléphant trébuche, ce sont les fourmis qui en
pâtissent.
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Une mer d’huile ne donne pas de loup de mer.
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Le chien a beau avoir quatre pattes, il ne peut emprunter deux chemins à la
fois.
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Traverse la rivière avant d’insulter le crocodile.
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Le tronc d’arbre a beau séjourner dans le fleuve, il ne se transforme pas en
crocodile.
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Le fleuve fait des détours parce que personne ne lui montre le
chemin.
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Quand on a qu’une lance, on ne s’en sert pas contre un
léopard.
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Dieu ne fait qu’ébaucher l’homme. C’est sur terre que chacun
se crée.
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Le drapeau suit la direction du vent.
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On n’est pas orphelin d’avoir perdu père et mère, mais d’avoir perdu
l’espoir
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Un homme qui se noie s’agrippe à l’eau
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Suivez les abeilles et vous mangerez le miel.
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Peu import la direction du vent, le soleil va toujours où il doit
aller.
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La branche ne se cassera pas dans les bras du caméléon
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Là où le cœur est, les pieds n’hésitent pas à y
aller !
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Tous les blancs ont une montre, mais ils n’ont jamais le
temps.
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Le bœuf ne se vante pas de sa force devant l’éléphant.
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Le bruit du fleuve n’empêche pas le poisson de dormir.
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Sur quelque arbre que ton père soit monté, si tu ne peux grimper, mets au moins
la main sur le tronc.
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Quand tu marches, le pagne dure ; quand tu es assis, le pagne
s’use.
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Ce n’est pas à toute oreille percée qu’on met des anneaux
d’or.
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La main de celui qui demande est toujours en dessous de la main de celui à qui il
demande.
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Ne te lasse pas de crier ta joie d’être en vie, et tu n’entendras plus d’autres
cris.
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L’homme a inventé la montre, mais Dieu a inventé le
temps.
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La figue ne tombe jamais en plein dans la bouche.
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L’eau chaude n’oubli pas qu’elle a été froide.
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Ce n’est pas parce que c’est dur qu’on n’ose pas, mais c’est parce que l’on n’ose
pas que c’est dur.
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L’oreille n’est jamais plus grande que la tête.
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On n’achète pas un bijou non dépouillé de son emballage.
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Bouche de miel, cœur de fiel.
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Le léopard ne se déplace pas sans ses tâches.
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La chèvre broute là où elle est attachée.
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Si tu as de nombreuses richesses, donne ton bien. Si tu en as peu, donne ton
cœur.
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Un vieillard qui meurt, c’est comme une bibliothèque qui
brûle.
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Pour qu’un enfant grandisse, il faut tout un village.
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Qui dit « Bonjour Madame » dit « Au revoir
l’argent ».
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Là où la hache va c’est pour couper du bois.
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