Pour
moi, il y
avait une barrière
mentale entre la religion
et Dieu. Je pouvais très bien me
placer sur un terrain religieux et ne jamais,
en termes d’émotions, comprendre que Dieu est
une personne, un être réel avec des pensées,
des sentiments et tout ce qui va avec.
Pour moi, Dieu était plus quelque
chose de l’ordre de l’idée.
C’était un peu comme
une machine
à sous,
une
rangée
d’images
tournantes
d’où sortaient
des récompenses
sur la base de mes
mérites et, peut-être,
de la chance. […] J’aimais
beaucoup ce Dieu: on
n’avait jamais à lui
parler, et il ne
répondait
jamais
Je
pense
que chaque
personne un peu
honnête, chaque personne
consciente des principes qui
sont à l’oeuvre dans sa réalité, en
arrive à un point où elle cesse d’accuser
un groupe particulier, le pouvoir ou l’humanité
entière d’être responsable des malheurs du monde
et où elle fait face à ses propres responsabilités.
C’est la partie de la spiritualité chrétienne avec
laquelle j’ai le plus de mal: le problème
n’est pas quelque chose d’externe; le
problème, c’est cette sorte de bête
affamée qui vit en moi.»
Donald Miller
Je
pense
que chaque
personne un peu
honnête, chaque personne
consciente des principes qui
sont à l’oeuvre dans sa réalité, en
arrive à un point où elle cesse d’accuser
un groupe particulier, le pouvoir ou l’humanité
entière d’être responsable des malheurs du monde
et où elle fait face à ses propres responsabilités.
C’est la partie de la spiritualité chrétienne avec
laquelle j’ai le plus de mal: le problème
n’est pas quelque chose d’externe; le
problème, c’est cette sorte de bête
affamée qui vit en moi.»
Donald Miller
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