Jaloux,
moi ? Tu crois ? »
Il n’y a pas de plus
grand jaloux que celui qui
s’ignore ! En prendreconscience est
sans doute le premier pas vers
la guérison de cette
maladie
de
l’âme
qui empoisonne
nos relations humaines
Cesser d'adopter des comportements
jaloux envers leconjoint,
les amis.Cesser
ce discours :
Je désire
qu’ils
prennent
plus de temps
avec moi Je veux me
sentir aimé (e) d’un amour
exclusif,être l’élu (e),
l’ « unique ».
Cette
jalousie
peut me rendre
suspicieux (se) et m’amener
à tout contrôler, à interpréter leurs
faits et gestes. Je sens bien, au fond
de moi, que cette attitude
est malsaine et
excessive.
L’
amour
et l’amitié
supposent la confiance.
Une confiance raisonnée, fondée
sur une qualité de relationsentre
deux personnes. Or, on le sait
par expérience,
la relation à
l’autre
n’est
jamais
parfaitement
harmonieuse ! Et
le manque, quel qu’il soit,
provoque l’insatisfaction. Si
cette frustration vient de mon
conjoint, je me mets à craindre qu’il
me quitte. Lorsque je suis moi-même
insatisfait (e), je commence àrouspéter,
à harceler l’autre et il (elle) réagit mal.
Et plus il (elle) réagit mal,
plus je pense qu’il (elle)
ne m’aime
pas .
La
jalousie
tient d’abord
au désir de posséder
l’autre ; le jaloux ne veut pas
que l'autre lui échappe . Derrière
cette volonté d’emprise se cache
un état de dépendance
affective. Le
travail
du
thérapeute
consiste sortir
le jaloux de cette
relation fusionnelle en
lui inculquant les principes
de l’autonomie : « Il s’agit de
lui apprendre à s’épanouir
seul, sans l’autre
qui lui sert de
substitut »,
La
jalousie
tient d’abord
au désir de posséder
l’autre ; le jaloux ne veut pas
que l'autre lui échappe . Derrière
cette volonté d’emprise se cache
un état de dépendance
affective. Le
travail
du
thérapeute
consiste sortir
le jaloux de cette
relation fusionnelle en
lui inculquant les principes
de l’autonomie : « Il s’agit de
lui apprendre à s’épanouir
seul, sans l’autre
qui lui sert de
substitut »,
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