1 Samuel 4 et 7
nous rappellent quelque chose
des églises de Laodicée et Philadelphie,
en Apocalypse 3.
La première nous présente
une condition que nous devrions
scrupuleusement éviter;
la seconde,
une condition que nous devrions
cultiver avec diligence et sérieux
. Dans la première,
il y a une misérable auto-satisfaction,
et Christ est laissé dehors.
Dans la seconde,
il y a la conscience
de sa propre faiblesse,
mais Christ y est exalté, aimé,
et honoré; Sa Parole gardée,
et Son Nom estimé.
Souvenons-nous
que ces choses se poursuivent
jusqu’à la fin.
En Philadelphie,
nous avons cet état d’âme,
cette attitude de coeur,
que tout vrai croyant,
et toute assemblée de croyants
devrait cultiver avec ardeur
et manifester fidèlement
. Laodicée,
au contraire, présente
un état d’âme et une attitude
de coeur qu’il faut rejeter
avec une sainte crainte.
Philadelphie
est aussi attirante
pour le coeur de Christ,
que Laodicée lui est répugnante.
De la première,
Il en fera un pilier
dans le temple de Son Dieu;
la seconde,
il la vomira de sa bouche,
et Satan la prendra
et en fera le repaire de tout oiseau
immonde et exécrable !
Apoc. 18:2
Combien cela est effrayant
pour tous ceux
qui participeront à ce désastre.
N’oublions jamais
que la prétention à être Philadelphie
manifeste l’esprit de Laodicée.
Là où vous trouvez
toute sorte de prétention,
d’affirmation du moi,
d’auto satisfaction,
vous avez Laodicée, en esprit
et en principe
que le Seigneur
veuille en délivrer tout Son peuple !
Bien-aimés,
soyons contents de n’être rien
dans cette scène d’auto exaltation.
Que notre aspiration
soit de marcher dans l’ombre,
en ce qui concerne les pensées humaines,
et ne jamais nous éloigner
de l’approbation du Père.
En un mot,
rappelons nous que
«la plénitude de Dieu attend toujours
des vases vides».
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