Nous
avons toutes
nos blessures ,nos
souffrances,nos épreuves.
Pas question de les comparer.
ni de comparer ma manière de la
gérer avec celle des autres,,,Chacune
a son chemin de résilience ,sa
capacité à surmonter les
moments douloureux
à se développer,
en dépit
de
l’adversité.
La résilience
consiste à prendre
acte d’un traumatisme
quel qu’il soit, à apprendre
à «vivre avec» et à rebondir en
changeant de perspective, voire à se
délivrer d’un passé empoisonnant pour
en sortir grandi.Boris Cyrulnik, à
qui on doit la popularisation de
cette notion, décrit la
résilience comme
“l’art de naviguer
dans les
torrents”.
Quiconque
a voyagé le sait bien :
on a beau connaître la destination,
on met du temps à l’atteindre. On rencontre
des vagues, des coups de vent, des brouillards...
Des éléments internes peuvent nous pénaliser
un jugement impitoyable et de la
dureté envers soi-même et les
autres,la culpabilité, le
perfectionnisme,le refus
d’accepter notre
vulnérabilité
la résilience
n’est
pas
une
destination.
c'est un voyage
au cours duquel on
peut dériver , être entraîné
des remous , tomber à l'eau...boire la tasse ,
“ La résilience n’est pas un
catalogue de qualités que posséderait
un individu. C’est un processus qui,
de la naissance à la mort, nous
tricote sans cesse avec
notre entourage.”
B Cyrulnik
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