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2009-07-31T06:57:00+02:00

La plénitude....(5)

Publié par sulamite -






Tout est réalité,

tout est travail de coeur

Au lieu des cris de vantardise,

il y a l’eau répandue —

symbole saisissant et expressif

d’une faiblesse absolue

d'une vie livrée

En un mot,

l’homme prend sa vraie place;

et cela, nous le savons, est un signe

que Dieu va prendre

la Sienne.

Ce grand principe traverse,

comme un merveilleux fil d’or,

tout le long de l’Écriture,

tout le long de l’histoire du peuple de Dieu,

tout au long de l’histoire des âmes

. Il est condensé

dans cette expression si brève,

mais de si vaste portée :



«la repentance et la rémission

des péchés»

Luc 24:47



La repentance

est la vraie place de l’homme.

La rémission des péchés est la

réponse de Dieu.

La repentance exprime

que le vase se vide;

la rémission des péchés

exprime la plénitude

de Dieu



Quand les deux

se rencontrent, tout est réglé.



Ceci est présenté

d’une façon très saisissante

dans la scène de ce chapitre 7.

Israël ayant pris sa

vraie place,

Dieu est libre d’agir en leur faveur.

Ils ont confessé

être eux même comme de l’eau

répandue sur la terre,

totalement impuissants et indignes.

C’est tout

ce qu’ils avaient à dire

d’eux-mêmes, et cela suffisait.

Dieu peut maintenant

entrer en scène et s’occuper

des Philistins rapidement.

«si Dieu est pour nous, qui sera

contre nous ?»



«Et Samuel

prit un agneau de lait,

et l’offrit tout entier à l’Éternel

en holocauste;

et Samuel cria à l’Éternel

pour Israël;

et l’Éternel l’exauça.

Comme Samuel offrait l’holocauste,

les Philistins s’approchèrent pour

livrer bataille

à Israël»



Combien peu ils connaissaient

Celui qu’ils venaient combattre,

qui allait à leur rencontre !



«Et l’Éternel fit tonner

ce jour-là un grand tonnerre

sur les Philistins,

et les mis en déroute,

et ils furent battus devant Israël…

et Samuel prit une pierre,

et la plaça entre Mitspa

et le rocher,

et il appela son nom Ében-Ézer

(la pierre de secours),

et dit :

l’Éternel nous a secourus

jusqu’ici».



Quel contraste

entre les grands cris d’Israël

poussés au chapitre 4

et le tonnerre de l’Éternel

au chapitre 7 !

Les premiers n’étaient que

prétention humaine;

le second, la puissance divine.

Ceux-là avaient été

aussitôt suivis

d’une humiliante défaite;

celui-ci,

d’un splendide triomphe.



Les Philistins

ignoraient ce qui s’était passé —

l’eau répandue,

les pleurs de repentance,

l’offrande de l’agneau,

l’intercession sacerdotale.

Que pouvaient

connaître des Philistins incirconcis

de ces précieuses

réalités ?

Rien.



Quand la terre frémissait

sous les cris d’orgueil d’Israël,

ils pouvaient se

rendre compte

de ce qui se passait.

Les hommes du monde

peuvent comprendre et apprécier

l’auto satisfaction et la confiance en soi;

mais voilà justement ce qui

repousse Dieu.



À l’opposé,

un coeur brisé, un esprit contrit,

un esprit humble,

voilà ce qui fait son plaisir.

Quand Israël a pris

cette place d’abaissement,

la place du jugement de soi-même

et de la confession,

alors on entend le tonnerre de l’Éternel,

et les armées des Philistins

sont dispersées et confondues.

La plénitude de Dieu

attend toujours que le vase soit vide.

Vérité précieuse et bénie!

Puissions-nous entrer

plus entièrement

dans sa profondeur, sa plénitude,

sa puissance et son

étendue!

 

 


 


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