Si
je prends
le temps de louer,
de me réjouir, une paix
vient alors remplir mon cœur et je peux
enfin ne plus « voir » ce qui me fait
peur, mais marcher et enclencher
ma foi, me rappeler des
promesses de Dieu
pour moi, me
souvenir des
victoires
passées.
Ce
n’est pas
l’ordre habituel,
de chanter et de se réjouir,
lorsque les circonstances extérieures
sont difficiles, lorsque notre vue se
trouve face à des peurs, des
douleurs, des doutes.
Mais je réalise
pleinement
qu’en
commençant
dans ce sens-là, je
replace Dieu au centre,
j’active ma foi et reconnais
qu’il est ce Dieu de
Victoire !
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