Laisser
un blanc dans
l’échange en cours,
c’est-à-dire ne pas chercher à
le combler soi-même, offre une véritable
respiration, une occasion pour l’autre de “digérer”
le moment présent, les paroles, la résonance intérieure.
Le fait de vouloir remplir le silence et de reprendre
l’initiative est souvent un symptôme d’une
position de sauveur, genre parent
nourricier qui veut
absolument
« en
rajouter
une couche »
pour expliquer, se
justifier, convaincre,
rassurer etc. Et puis, laisser
le silence s’installer offre l’opportunité
à l’autre de le rompre : la façon dont il va le faire
et ce sur quoi il va embrayer peut être une
précieuse source d’information sur sa
façon de penser, son état
émotionnel,
ses
priorités
et même,
sur l’orientation
à donner à l’échange.
C’est bien, au fond, ce silence :
on ne fait rien… et il se
passe plein de
choses !
rajouter
une couche »
pour expliquer, se
justifier, convaincre,
rassurer etc. Et puis, laisser
le silence s’installer offre l’opportunité
à l’autre de le rompre : la façon dont il va le faire
et ce sur quoi il va embrayer peut être une
précieuse source d’information sur sa
façon de penser, son état
émotionnel,
ses
priorités
et même,
sur l’orientation
à donner à l’échange.
C’est bien, au fond, ce silence :
on ne fait rien… et il se
passe plein de
choses !
commentaires