Nous
sortons de
plusieurs millénaires
de patriarcat. C’est la femme
qui a tendu le fruit à Adam ! Cette
pensée a perduré dans les Églises, et il nous est
difficile aujourd’hui de sortir de cette posture...
la cause des femmes reste un non-sujet.
En Église, on réfléchit aux migrants,
à la diaconie, et ce sont des
causes justes. Mais
pourquoi
ne
pas
parler
aussi de
la cause des
femmes, des violences
intra-familiales, etc. ? C’est
dramatique de ne jamais parler du
sexisme ambiant...Qu’on arrête d’avoir peur
de parler des questions de genre. D’où cela vient
il que nous avons des assignations à des
fonctions sexuées ? Qu’est-ce que
cela veut dire d’être homme
ou femme, quand Galates
dit qu’il n’y a plus
« ni homme
ni
femme » ?
Si nous annonçons
un Dieu juste, un Dieu de
paix, nous ne pouvons pas accepter
les inégalités hommes / femmes. Il faudrait que
l’on puisse réfléchir à ces sujets en Église sans
que personne ne se sente atteint dans sa
virilité ou dans sa féminité, dans
sa domination ou dans sa
soumission.
R.Wolff-
Bonsirven
pas
parler
aussi de
la cause des
femmes, des violences
intra-familiales, etc. ? C’est
dramatique de ne jamais parler du
sexisme ambiant...Qu’on arrête d’avoir peur
de parler des questions de genre. D’où cela vient
il que nous avons des assignations à des
fonctions sexuées ? Qu’est-ce que
cela veut dire d’être homme
ou femme, quand Galates
dit qu’il n’y a plus
« ni homme
ni
femme » ?
Si nous annonçons
un Dieu juste, un Dieu de
paix, nous ne pouvons pas accepter
les inégalités hommes / femmes. Il faudrait que
l’on puisse réfléchir à ces sujets en Église sans
que personne ne se sente atteint dans sa
virilité ou dans sa féminité, dans
sa domination ou dans sa
soumission.
R.Wolff-
Bonsirven
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