A
la suite
de Paul, il
n’y a plus ni jeune
ni vieux, il n’y a plus ni
fonctionnaire, ni salarié, ni
employeur, ni chômeur. En Christ,
nous atteignons un degré supérieur de dignité
qui ne doit rien à nos mérites ni aux mérites qu’on
nous reconnaît. En Christ, nous atteignons un
degré supérieur de dignité qui ne doit rien
aux circonstances, aux aléas ou aux
turpitudes de l’histoire. C’est la
raison pour laquelle le
propos de l’apôtre Paul
a une conséquence
majeure sur le
plan social :
elle
dit
l’égale
dignité de
tous, nous
sommes tous
appréciés à partir
de notre appartenance en
Christ ou, pour le dire autrement,
nous sommes tous appréciés à partir de
notre filiation à Dieu. Cela veut dire que notre
dignité, reçue de l’Eternel, est une dignité
qui a un caractère absolu. Pour le dire
avec les mathématiques, nous
valons tous 100%. Il n’y a
pas de personne à 90%
ou à 60 % ou à
30%. Il n’y
a
pas
d’individu
de seconde catégorie.
Il ne devrait donc pas y avoir
de citoyens de seconde catégorie ou
des personnes que notre Eglise
considérerait de seconde
catégorie.
dit
l’égale
dignité de
tous, nous
sommes tous
appréciés à partir
de notre appartenance en
Christ ou, pour le dire autrement,
nous sommes tous appréciés à partir de
notre filiation à Dieu. Cela veut dire que notre
dignité, reçue de l’Eternel, est une dignité
qui a un caractère absolu. Pour le dire
avec les mathématiques, nous
valons tous 100%. Il n’y a
pas de personne à 90%
ou à 60 % ou à
30%. Il n’y
a
pas
d’individu
de seconde catégorie.
Il ne devrait donc pas y avoir
de citoyens de seconde catégorie ou
des personnes que notre Eglise
considérerait de seconde
catégorie.
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