Lors
d’un débat
sur la douloureuse
question du service des
femmes, la question a été
posée par une participante.
« A quoi devriez-vous renoncer si
un avis autre que le vôtre l’emportait
dans l’Église ? »Si la vision hiérarchique de
l’homme et de la femme devait continuer à
prédominer, j’aurais mal à l’Église. Il ne
s’agit pas seulement moi, des
autres femmes
qui
se
donnent
corps et âme
dans un ministère à la
suite de Jésus, mais il s’agit du
peuple de Dieu douloureusement
amputé de la moitié de ses dons de direction,
de la moitié de sa parole.Par amour
pour l’Église, hommes et
femmes doivent
continuer
à
dénoncer
les injustices qui
la divisent, qui la fragilisent
et qui la décrédibilisent. Femmes
concernées et hommes alliés sont appelés
à élever leurs voix ensemble pour dénoncer
ce qui, du passé et du présent, défigure
le plan de Dieu pour l’Église
et pour le
monde.
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