Tout
est parti
d’une simple question.
“Depuis des années, elle titillait
ma curiosité : régulièrement, je me
demandais si la valeur numérique des noms
de couleurs apparaissant dans la Bible pouvait
avoir un rapport quelconque avec leur fréquence d’onde”,
raconte Haïm Shore, professeur à l’université Ben Gourion
du Néguev. “Question extravagante en vérité. Pourquoi en
serait-il ainsi ? En fin de compte, pour m’amuser, j’ai
vérifié. Et les bras m’en sont tombés ! Il pouvait
s’agir d’une sacrée coïncidence, mais
toujours est-il qu’il existait bel et bien
un lien linéaire : le nom hébraïque
des couleurs reflète leur
fréquence d’onde !”
La méthodologie
employée
était
simple :
Shore a pris
les noms de cinq
couleurs mentionnées dans
la Bible, le rouge (“adom”), le
jaune (“tzahov”), le vert (“yerakone”),
le bleu (“tchélète”) et le violet ou magenta
(“argamane”) et il a calculé leur valeur numérique
en additionnant pour chacun la valeur de ses lettres :
aleph correspondant à un, beth à deux, etc.
Puis il a réuni le tout dans un graphique :
la fréquence d’onde de chaque couleur,
établie scientifiquement, sur l’axe
vertical, la valeur numérique
du nom de ces
couleurs
sur
l’axe horizontal.
“Je n’en ai pas cru mes yeux”
, se remémore le scientifique. “Les cinq points
du graphe formaient une ligne droite !
Autrement dit, les noms des couleurs
correspondaient à leurs
fréquences d’ondes
respectives
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