La vérité = ce qui doit être
il
s’agit
de la vérité
que nous cherchons
à atteindre, et qui n’est
plus un simple discours qui
cherche à verbaliser quelque chose
qui est, de cette vérité de Jésus,
de cette vérité-personne.
C’est cette même
vérité que nous
retrouvons
en
morale,
lorsque nous
cherchons à définir
comment il faut agir ;
c’est celle-là encore que
nous appelons lorsque nous
voulons distinguer l’histoire de
l’Eglise et sa vérité. Dans ce cas là,
la vérité se définit comme ce qui
doit être. Dans la première
définition, la vérité est
un discours qui est
second, alors que
le réel est
premier :
Dans cette
deuxième définition,
le rapport est
inversé :
la
vérité
est première,
et il s’agit de l’appliquer
au réel, de chercher à l’incarner.
En ce sens là, la vérité du monde,
c’est le monde tel que Dieu le veut,
tel qu’il l’a créé au départ ; la
vérité de l’homme, c’est
Jésus, homme
parfait,
second Adam,
la Parole incarnée,
la Parole faite chair.
Bien sûr, Jésus est à la
fois pleinement Dieu et
pleinement homme, et il
convient de distinguer les
deux natures ; nous
n’avons pas à être
comme Jésus en
tant qu’il est
Dieu ; mais
nous
avons
à l’imiter en
tout point en
tant qu’il est homme.
C’est en ce sens qu’il est
la Vérité.Il en va de même pour
l’Eglise. Les chrétiens sont
très souvent accusés par
les athées, et à raison,
d’avoir agi en
contradiction
flagrante
avec
les
préceptes
du Christ.,, Il
y a l’Eglise historique,
qu’il nous faut prendre en
compte et qui fait partie de notre
définition ; et il y a l’Eglise
telle que Jésus et ses
apôtres l’ont
définie,
celle
qui est
en vérité,
heureusement
incarnée aussi,
mais toujours
imparfaite ...
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